La Bête: Dissertation

Introduction

Une petite introduction avant la dissertation sur « LA BETE DU GEVAUDAN »: méthodologie « QQOQCP » pour répondre de façon factuelle aux questions QuiQuand, Ou, Quoi, Comment et Pourquoi:

  ♦ [Qui ?] ............... Des paysans, essenciellement des femmes et de jeunes enfants , 
  ♦ [Quand ?] ......... Entre Juin 1764 et Juin 1767, soit durant 4 années de ce milieu du XVIII° siécle, 
  ♦ [Ou ?] ................ Dans le pays du Gévaudan, depuis la haute Ardéche puis en Margeride, autours du Mont Moucher,  
  ♦ [Quoi ?] ............. Sont retrouvés morts, pour le moins égorgés et cruellement meurtris
  ♦ [Comment ?]  ... Suite à des attaques d'une « béte sauvage ». 
  ♦ [Pourquoi ?]  ...... Le mystére est encore entier à nos jours ... 

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Dissertation: INTRODUCTION

Une époque et des dates historiques, des lieux et des localités géographiques, avec des personnes ou des animaux réels ou mythiques, des faits et des événements, relatés par écrits ou transmis verbalement:

« C'était entre Juin 1764 et Juin 1767 (soit durant 4 années de ce milieu du XVIII° siécle), dans le pays du GEVAUDAN (depuis la haute ARDECHE puis en MARGERIDE autours du Mont MOUCHER), avec des paysans (essenciellement des femmes et de jeunes enfants), retrouvés morts (pour le moins égorgés et cruellement meurtris), suite à des attaques d'une « béte sauvage ». Et Le mystère reste encore entier à nos jours ... "

Le développement d'une dissertation sur « LA BETE DU GEVAUDAN »: expression de THESES, objections par ANTITHESES associées, porte ouvertes aux SYNTHESES. Des points de vues par expressions d'affirmations de sources, plus ou moins tracées, toujours contredits par des  interprétations contradictoires, plus ou moins partisanes: des conclusions ouvrant la porte à d'autres voies ...

Enfin, les conclusions: expression de points de vues émis par LES UNS, mais également par LES AUTRES,  puis finalement ET MOI ! En fait, théses et antithéses récapitulatives, avec ma vision personnelle ....

Dissertation: DEVELOPPEMENT

Thèses ...

Le loup, présent dans les forêts, tout autant que dans la mémoire collective, est désigné comme « premier et principal coupable ».

Puis les descriptions mettent en évidence un « animal de type inconnu à la région », tel que hyène, lynx, panthère, singe, ours

Mais son comportement devient de moins en moins « animal », de plus en plus « humain », tant par son aptitude à déjouer ses congénères que par sa connaissance précise du terrain et de ses mouvements quasi militaires (attaques multiples aux mêmes instants, replis stratégiques …).

Ainsi, une (ou des) « bête dressée », habilement commandée(s) par un maître connaissant bien la région, expliquerait bien des choses, d'autant plus si elle(s) étai(en)t grimées, maquillées, voire cuirasséesCe pourrait être, un chien, un loup, une hyène, voire tout autre « croisement ». 

Pour ce qui est du maître, accuser sans preuve, c'est diffamer ... mais il devait connaître ou appartenir à un milieu social différent de celui de ses victimes (paysans ruraux), tant pour sa propre protection, que pour les informations qu'il fallait obligatoirement détenir.

Comme il ne saurait être question d'un « homme normal », et que ce n'est pas non plus un « animal commun », ce ne peut être qu'une « créature surnaturelle »: compte tenu des actes, elle est maléfique, de surcroît.

Enfin, tel « monstre du Looch Ness », ou autres « Yeti », les créatures issues d'autres temps ou d'autres lieux (« Extra-terrestres »), sont des hypothèses qui existent aussi.

Dernière hypothèse, la « Bête » n'aurait jamais existait, et tout serait pure invention pour les contes des longues veillées d'hiver.


Anti-Thèses ... 

Les battus ont éliminés des loups, mais des « bêtes » subsistent, dont les descriptions et les comportements ne correspondent en rien aux loups communs de ces temps là.

De plus le loup craint l'homme et n'attaque pas. Bien des fois, un simple coup de bâton suffisait à le(s) faire fuir.

Aucun « animal » n'aurait pu arriver seul, de contrais lointaines, telles que l'Afrique, ou autres. S'il en existent d'inconnus à la région, c'est qu'ils ont été importés, de façon involontaire (bête de cirque échappée ?), mais plus certainement volontaire (importation, souvenir).

Mais qui aurait vécu assez longtemps en Afrique, pour se retrouver au fin fond du Gévaudan ?

Un animal au comportement humain, qui raisonne comme un humain, est obligatoirement commandé par un humain, qui l'a forcement apprivoisé, élevé, et dressé. Ceci demande du temps, des compétences, des moyens, des faits qui ne peuvent rester inconnus d'un entourage proche.

A moins bien sûr que certains ne sachent, préférant se taire, volontairement, peut-être pas, mais par obligations, directes ou indirectes.

Mais comment concevoir qu'un « humain » puisse perpétrer de telles horreurs … par définitions inhumaines.

Le « Loup-garou » à toujours été la thèse idéale pour expliquer le comportement animal associé au raisonnement humain: le mélange de l'homme avec la bête. On y croit … ou on n'y croit pas !

Quand aux OVNI et autres créatures mythiques, ils subsistent aussi longtemps que la raison ne trouve pas d'explications rationnelles : idem précédent.


Synthèse ...

Au début, était « peut-être » un ou des loups ...


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Dissertation: CONCLUSION


Les Uns !

Les uns ont dit que seul un ou plusieurs animaux, quels qu'ils soient, auraient put commettre de telles atrocités.



Les Autres !

Les autres ont affirmés qu'au contraire seul un ou des hommes, qui qu'ils soient, avaient tout a la fois, le vice et l'intelligence pour commettre de tels méfait et déjouer aussi longtemps tant de personnes.


Et Moi !

Des gens sont morts : ce fait là semble établi, et qui plus est, dans des circonstances abominables, avec une concentration élevée sur un périmétre assez restreint.

Des animaux, quels qu'ils soient, ont fortement servis de mobile, voire d'instrument, pour commettre des exactions à finalité 'humaine' …

Quels étaient ces animaux, qui étaient ces hommes ?Après tout, peu importe des acteurs, seuls les faits restent, dans toute leur horreur.

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